La Suisse, avec ses montagnes majestueuses, son économie robuste et sa qualité de vie élevée, attire chaque année de nombreux expatriés. Si vous envisagez de faire le pas, voici ce que vous devez savoir sur le marché du travail suisse et comment préparer votre candidature.
1. Multilinguisme : La Suisse compte quatre langues officielles : le français, l'allemand, l'italien et le romanche. Selon la région, l'une ou l'autre de ces langues est privilégiée, il est donc essentiel de connaître la langue dominante de la région où vous souhaitez travailler.
2. Qualifications et formation continue : Les Suisses accordent une grande importance à la formation et à la spécialisation. Une formation continue ou des certifications spécifiques peuvent être un atout considérable.
3. Secteurs dominants : La Suisse est un pôle mondial de la finance, de la pharmaceutique et de l'horlogerie. Si vous avez des compétences dans ces domaines, cela peut être un avantage.
Contrairement à certains pays, les CV suisses ont des particularités :
1. Informations personnelles : Il est courant d'inclure une photo professionnelle, votre âge, et votre nationalité. Assurez-vous que la photo est de haute qualité et adaptée à un contexte professionnel.
2. Longueur : Contrairement à la règle du "une page" qui prévaut dans de nombreux pays, en Suisse, un CV peut avoir jusqu'à trois pages, surtout si vous avez une carrière longue et variée.
3. Langues : Étant donné le multilinguisme du pays, il est essentiel d'indiquer vos compétences linguistiques, idéalement avec un niveau (par exemple, C1, débutant, courant).
1. Salaires élevés : La Suisse est connue pour offrir certains des salaires les plus élevés au monde, ajustés en fonction du coût de la vie.
2. Qualité de vie : La Suisse offre un environnement propre, sécuritaire et doté d'excellentes infrastructures.
3. Opportunités professionnelles : De nombreuses multinationales ont établi leur siège en Suisse, offrant une multitude d'opportunités pour les professionnels internationaux.
4. Système éducatif : Pour ceux qui s'expatrient avec une famille, le système éducatif suisse est l'un des meilleurs au monde, avec des écoles publiques et privées de qualité.
5. Équilibre travail-vie : Bien que le marché du travail soit compétitif, la Suisse valorise l'équilibre entre travail et vie personnelle, ce qui se traduit souvent par des horaires de travail flexibles et une grande importance accordée aux vacances.
1. Coût de la vie : Bien que les salaires soient élevés, le coût de la vie en Suisse est également l'un des plus élevés au monde. Tout, de la nourriture à l'immobilier, peut coûter cher.
2. Marché du travail compétitif : La qualité des opportunités professionnelles attire les meilleurs talents du monde entier, rendant le marché du travail particulièrement compétitif.
3. Différences culturelles : Malgré sa petite taille, la Suisse a une diversité culturelle importante. Comprendre et s'adapter aux nuances régionales et linguistiques peut représenter un défi pour les nouveaux arrivants.
S'expatrier en Suisse est une décision majeure qui offre de nombreux avantages professionnels et personnels. Toutefois, comme pour toute expatriation, il est essentiel de bien comprendre le marché du travail local et de se préparer en conséquence. Avec un CV bien adapté et une compréhension des spécificités suisses, vous serez bien positionné pour réussir dans ce pays magnifique.
]]>Lors d'un entretien d'embauche, il est courant que les recruteurs posent des questions délicates pour évaluer votre adéquation avec le poste et votre capacité à faire face à des situations complexes. Savoir comment gérer ces questions avec confiance et professionnalisme est essentiel pour faire bonne impression. Dans cet article, nous vous donnerons des conseils pratiques sur la manière de gérer les questions délicates lors d'un entretien d'embauche et de transformer ces moments difficiles en opportunités de vous démarquer.
Préparez-vous à l'avance: Anticipez les questions délicates qui pourraient être posées lors de l'entretien. Il peut s'agir de questions sur les périodes d'inactivité, les échecs passés, les conflits interpersonnels, les écarts de salaire, etc. Préparez des réponses honnêtes, concises et positives pour ces questions, en mettant l'accent sur les leçons apprises et les actions prises pour surmonter les difficultés.
Restez calme et professionnel: Lorsque vous êtes confronté à une question délicate, gardez votre calme et maintenez une attitude professionnelle. Évitez de devenir défensif ou d'exprimer des émotions négatives. Prenez quelques instants pour réfléchir avant de répondre, en vous assurant que votre réponse est réfléchie et appropriée.
Écoutez attentivement la question: Assurez-vous de bien comprendre la question avant de répondre. Si nécessaire, demandez des éclaircissements pour éviter les malentendus. Écoutez attentivement et prenez le temps de formuler une réponse précise et pertinente.
Restez positif et concentrez-vous sur les leçons apprises: Lorsque vous répondez à une question délicate, adoptez une perspective positive. Mettez l'accent sur les leçons que vous avez tirées de l'expérience plutôt que sur les erreurs commises. Expliquez comment vous avez surmonté les obstacles et ce que vous avez appris de ces situations.
Soyez honnête et transparent: La sincérité est importante lors de la gestion de questions délicates. Soyez honnête dans vos réponses, tout en restant respectueux envers les personnes et les organisations impliquées. Évitez de fournir des informations trompeuses ou de dissimuler des faits importants.
Mettez en avant vos compétences et vos réalisations: Profitez des questions délicates pour mettre en avant vos compétences et vos réalisations pertinentes. Par exemple, si vous êtes interrogé sur une période d'inactivité, parlez des compétences que vous avez acquises pendant cette période ou des projets personnels que vous avez menés.
Pratiquez avec des mises en situation: Avant l'entretien, pratiquez vos réponses aux questions délicates en utilisant des mises en situation. Demandez à un ami ou à un mentor de jouer le rôle du recruteur et de poser des questions difficiles. Cela vous aidera à gagner en confiance et à affiner vos réponses.
Conclusion: Gérer les questions délicates lors d'un entretien d'embauche peut être intimidant, mais avec une préparation adéquate et une attitude professionnelle, vous pouvez transformer ces moments difficiles en opportunités de vous démarquer. Préparez-vous à l'avance, restez calme et concentré, soyez honnête et transparent, et mettez en avant vos compétences et vos réalisations pertinentes.
Rappelez-vous que les questions délicates sont une occasion de démontrer votre capacité à gérer des situations complexes et à apprendre de vos expériences. En suivant ces conseils, vous serez mieux préparé à faire face aux questions délicates et à impressionner les recruteurs lors de vos entretiens d'embauche.
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LinkedIn est devenu un outil essentiel pour les professionnels à la recherche d'opportunités d'emploi. Pour attirer l'attention des recruteurs et se démarquer parmi les nombreux profils présents sur la plateforme, il est crucial de mettre en valeur les compétences clés pertinentes. Votre profil LinkedIn est une vitrine de vos compétences et de votre expertise professionnelle. Dans cet article, nous explorerons les compétences clés à mettre en avant sur votre profil LinkedIn afin d'attirer l'attention des recruteurs et d'optimiser vos chances d'obtenir des opportunités professionnelles intéressantes.
Identifiez les compétences recherchées dans votre domaine: Effectuez une recherche approfondie sur les compétences les plus recherchées dans votre domaine d'activité. Tenez compte des compétences techniques spécifiques ainsi que des compétences transversales qui sont valorisées. Cela vous aidera à cibler les compétences clés à mettre en avant sur votre profil LinkedIn.
Mettez en évidence vos compétences spécialisées: Identifiez vos compétences spécialisées qui vous distinguent des autres professionnels. Que ce soit la maîtrise d'un logiciel spécifique, une expertise dans un domaine particulier ou des certifications pertinentes, assurez-vous de les mettre en évidence de manière claire sur votre profil.
Utilisez les mots-clés appropriés: Les recruteurs utilisent souvent des mots-clés pour rechercher des profils correspondant à leurs besoins. Intégrez ces mots-clés pertinents dans votre profil LinkedIn, en particulier dans la section des compétences. Cela vous rendra plus facilement repérable dans les recherches des recruteurs.
Obtenez des recommandations de compétences: Les recommandations de compétences jouent un rôle important dans la crédibilité de votre profil LinkedIn. Demandez à vos collègues, superviseurs ou clients de vous recommander pour des compétences spécifiques. Ces recommandations donneront une preuve sociale de vos compétences et renforceront votre profil.
Ajoutez des exemples concrets de réalisations: Décrivez des exemples concrets de réalisations qui mettent en évidence vos compétences clés. Utilisez la section "Expérience" pour démontrer comment vous avez utilisé vos compétences pour résoudre des problèmes, atteindre des objectifs ou générer des résultats positifs. Les chiffres et les résultats quantifiables sont particulièrement impactants.
Suivez les tendances du marché: Les compétences recherchées évoluent constamment en fonction des tendances du marché. Tenez-vous informé des dernières évolutions de votre domaine et des compétences émergentes. Assurez-vous de mettre à jour régulièrement votre profil LinkedIn pour refléter ces changements.
Soyez sélectif avec les compétences que vous affichez: Soyez stratégique dans le choix des compétences que vous affichez sur votre profil LinkedIn. Évitez de surcharger votre profil avec trop de compétences peu pertinentes. Mettez plutôt l'accent sur celles qui sont les plus importantes et les plus recherchées dans votre domaine.
Conclusion: En mettant en valeur les compétences clés pertinentes sur votre profil LinkedIn, vous augmentez considérablement vos chances d'attirer l'attention des recruteurs. Identifiez les compétences recherchées dans votre domaine, mettez en évidence vos compétences spécialisées et utilisez les mots-clés appropriés pour optimiser votre visibilité. Obtenez des recommandations de compétences et ajoutez des exemples concrets de réalisations pour renforcer votre crédibilité. Restez à l'affût des tendances du marché et mettez régulièrement à jour votre profil pour refléter les compétences émergentes. En suivant ces conseils, vous serez en mesure de créer un profil LinkedIn attractif et de vous démarquer auprès des recruteurs. Bonne mise en valeur de vos compétences sur LinkedIn !
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Dans un marché du travail compétitif, il est essentiel de connaître les compétences les plus recherchées par les recruteurs. Savoir quelles compétences sont en demande vous permet de cibler votre candidature de manière stratégique et de vous démarquer des autres candidats. Dans cet article, nous explorerons les compétences les plus recherchées par les recruteurs et vous fournirons des conseils sur la façon de les mettre en évidence dans votre candidature. En mettant en avant ces compétences clés, vous augmenterez vos chances d'attirer l'attention des recruteurs et de vous démarquer dans le processus de recrutement.
Analysez les offres d'emploi pertinentes: Prenez le temps d'analyser les offres d'emploi dans votre domaine d'intérêt. Identifiez les compétences spécifiques mentionnées à plusieurs reprises dans ces annonces. Cela vous donnera un aperçu des compétences les plus recherchées par les employeurs et vous permettra de les mettre en évidence dans votre candidature.
Compétences techniques: Les compétences techniques sont souvent très demandées dans de nombreux domaines. Si vous possédez des compétences techniques spécifiques, assurez-vous de les mettre en évidence dans votre CV et votre lettre de motivation. Citez les outils, logiciels ou langages de programmation que vous maîtrisez, en les associant à des exemples concrets de réalisations.
Compétences transférables: Les compétences transférables sont des compétences qui peuvent être appliquées dans différents domaines ou industries. Par exemple, la gestion du temps, la résolution de problèmes, la communication efficace et le travail d'équipe sont des compétences recherchées dans de nombreux emplois. Identifiez les compétences transférables que vous possédez et mettez-les en évidence dans votre candidature.
Compétences interpersonnelles: Les compétences interpersonnelles, telles que l'intelligence émotionnelle, la capacité à collaborer et à communiquer efficacement, sont de plus en plus valorisées par les recruteurs. Décrivez dans votre candidature des exemples concrets où vous avez démontré ces compétences et leur impact positif dans vos expériences professionnelles antérieures.
Compétences liées à l'innovation et à la résolution de problèmes: Dans un environnement professionnel en constante évolution, les recruteurs recherchent des candidats capables d'apporter des idées novatrices et de résoudre des problèmes de manière créative. Mettez en avant votre capacité à penser de manière critique, à proposer des solutions innovantes et à gérer le changement dans votre candidature.
Compétences en leadership: Les compétences en leadership sont valorisées, que vous postuliez pour un poste de gestion ou non. Mettez en évidence vos compétences en leadership en décrivant des projets que vous avez dirigés, des équipes que vous avez supervisées ou des initiatives que vous avez lancées. Montrez comment vous avez exercé un leadership efficace et les résultats que vous avez obtenus.
Compétences numériques: Avec la transformation numérique, les compétences numériques sont devenues indispensables. Mentionnez les compétences numériques que vous maîtrisez, telles que l'utilisation d'outils spécifiques, la gestion des données, l'analyse statistique, la gestion des réseaux sociaux, etc.
Conclusion: En identifiant les compétences les plus recherchées par les recruteurs et en les mettant en évidence dans votre candidature, vous augmentez vos chances d'attirer leur attention. Analysez les offres d'emploi pour comprendre quelles compétences sont recherchées dans votre domaine, puis adaptez votre CV et votre lettre de motivation en conséquence.
Mettez l'accent sur les compétences techniques, les compétences transférables, les compétences interpersonnelles, les compétences liées à l'innovation, les compétences en leadership et les compétences numériques. En démontrant que vous possédez ces compétences clés, vous vous démarquerez auprès des recruteurs et augmenterez vos chances d'obtenir des opportunités professionnelles intéressantes. Bonne mise en valeur de vos compétences dans votre candidature !
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Se préparer efficacement à un entretien d'embauche est essentiel pour augmenter vos chances de réussite. Cependant, il est facile de commettre des erreurs lors de cette étape cruciale du processus de recrutement. Pour mettre toutes les chances de votre côté, il est important de connaître les erreurs courantes à éviter lors de la préparation d'un entretien. Dans cet article, nous passerons en revue les 10 erreurs les plus fréquentes et vous donnerons des conseils pour les éviter. En évitant ces pièges, vous pourrez vous présenter de manière plus confiante, professionnelle et convaincante lors de votre prochain entretien.
Ne pas faire de recherche approfondie sur l'entreprise et le poste: L'une des erreurs les plus courantes est de ne pas se renseigner suffisamment sur l'entreprise et le poste pour lequel vous postulez. Faites des recherches approfondies pour comprendre la culture, les valeurs et les objectifs de l'entreprise, ainsi que les exigences spécifiques du poste. Cela vous permettra de répondre de manière pertinente aux questions et de démontrer votre intérêt pour l'entreprise.
Ne pas se familiariser avec le parcours professionnel du recruteur: Il est essentiel de connaître le parcours professionnel du recruteur ou des membres de l'équipe d'entretien. Cela vous aidera à établir une connexion et à formuler des questions pertinentes. Consultez leurs profils LinkedIn ou leur biographie sur le site de l'entreprise pour obtenir des informations précieuses.
Ne pas pratiquer les réponses aux questions courantes: Se présenter devant les recruteurs sans avoir pratiqué les réponses aux questions courantes peut vous rendre nerveux et peu préparé. Anticipez les questions fréquemment posées, comme celles sur vos forces, vos faiblesses et vos réalisations, et préparez des réponses concises et percutantes.
Ne pas adapter ses compétences et réalisations à l'offre d'emploi: Évitez de donner des réponses génériques lorsqu'il s'agit de mettre en valeur vos compétences et réalisations. Au lieu de cela, adaptez vos exemples spécifiquement à l'offre d'emploi et aux besoins de l'entreprise. Montrez comment vos compétences peuvent contribuer à résoudre les défis auxquels l'entreprise est confrontée.
Ne pas préparer de questions à poser: Ne pas préparer de questions à poser lors de l'entretien peut donner l'impression que vous n'êtes pas suffisamment intéressé par le poste. Préparez une liste de questions pertinentes sur l'entreprise, le poste et la culture d'entreprise pour montrer votre engagement et votre curiosité.
Ne pas s'habiller de manière appropriée: L'apparence compte lors d'un entretien d'embauche. Ne pas s'habiller de manière appropriée peut donner une impression négligée ou peu professionnelle. Habillez-vous de façon soignée et adaptée à la culture de l'entreprise, en montrant que vous avez pris le temps de vous préparer pour l'occasion.
Ne pas gérer son temps de manière efficace: La gestion du temps est cruciale lors d'un entretien. Arriver en retard ou monopoliser excessivement le temps alloué peut donner une impression négative aux recruteurs. Soyez ponctuel, respectez les délais et veillez à ne pas trop vous étendre sur certaines réponses.
Ne pas montrer son intérêt pour l'entreprise: Les recruteurs recherchent des candidats qui sont véritablement intéressés par l'entreprise et le poste. Ne pas exprimer votre intérêt de manière authentique peut donner l'impression que vous êtes seulement à la recherche d'un emploi, plutôt que de vouloir contribuer à l'entreprise. Faites preuve d'enthousiasme et de motivation lors de l'entretien.
Ne pas utiliser des exemples concrets et des résultats quantifiables: Lorsque vous parlez de vos réalisations, utilisez des exemples concrets et des résultats quantifiables pour appuyer vos propos. Évitez de rester dans le vague et fournissez des détails tangibles qui démontreront votre valeur ajoutée.
Ne pas gérer le stress et les émotions: L'entretien peut être stressant, mais ne laissez pas cela transparaître. Ne pas gérer efficacement le stress et les émotions peut nuire à votre performance et à votre capacité à communiquer clairement. Préparez-vous mentalement, respirez profondément et restez calme et confiant tout au long de l'entretien.
Conclusion: En évitant ces 10 erreurs courantes lors de la préparation d'un entretien d'embauche, vous pouvez améliorer significativement vos chances de réussite. Faites des recherches approfondies, pratiquez vos réponses, adaptez vos compétences à l'offre d'emploi et montrez votre intérêt authentique pour l'entreprise. Gérez votre temps efficacement, habillez-vous de manière appropriée et utilisez des exemples concrets pour étayer vos réalisations. Enfin, gérez votre stress et vos émotions pour rester calme et confiant tout au long de l'entretien. En évitant ces erreurs, vous serez mieux préparé et plus en mesure de faire bonne impression auprès des recruteurs. Bonne chance dans vos futurs entretiens !
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]]>Il faut vous dire une chose : les entretiens d’embauche ne sont pas seulement là pour que le recruteur en apprenne plus sur vous et vérifie que vous correspondiez au poste. Un entretien d’embauche représente également une opportunité pour vous d’en savoir plus sur vos responsabilités, vos opportunités d’évolution, sur l’équipe que vous allez (peut-être) intégrer,… Bref, d’être certain que vous vous plairez à ce poste.
Arrivera forcément ce moment durant l’entretien où le recruteur fera une petite pause, vous regardera droit dans les yeux et vous demandera « Avez-vous des questions ? ». Cela va sans dire, il faut que vous en ayez préparé. Servez-vous de cette liste pour être sûrs d’avoir couvert tous les sujets et pour ne pas sécher au moment fatidique !
Attention, cette liste est bien est à prendre comme un répertoire de questions dans lequel vous pouvez piocher si le recruteur n’a pas encore abordé le sujet pendant l’entretien. Evitez de toutes les poser, sous peine de donner l’impression au recruteur qu’il est en train de subir un interrogatoire et de paraître trop intrusif.
Tout d’abord, assurez-vous d’avoir une vision d’ensemble du poste et des tâches quotidiennes qui vous seront confiées, à la prise de poste et par la suite.
1. Quelles sont les qualités que vous jugez nécessaires pour exécuter ces missions avec brio ?
2. Quelles sont les compétences qui vous manquent dans l’équipe actuelle ?
3. Quel est le plus gros challenge auquel la personne à ce poste sera confrontée ?
4. S’il y en a un, avez-vous une idée du budget qui me serait confié ?
5. Est-ce une création de poste ?
Essayez toujours de replacer chacun des postes que vous envisagez dans le contexte de votre future carrière. Qu’est-ce que vous apportera ce poste par rapport à un autre ?
6. Comment se passe la formation à la prise de poste ?
7. Il y-a-t-il des perspectives d’évolution dans l’entreprise, ou une évolution des responsabilités sur ce poste ? (à poser dans le cadre d’une offre d’emploi et non de stage)
Votre réussite à n’importe quel poste passe tout d’abord par la compréhension de vos objectifs et de la manière dont votre travail sera évalué.
8. Quelles sont les étapes les plus importantes que vous aimeriez voir la personne recrutée passer au bout de 30, 60 et 90 jours après la prise de poste ?
9. Quels sont les objectifs à atteindre sur six mois ?
10. Comment se déroule le processus d’évaluation ?
11. Quels sont les paramètres qui seront pris en compte pour mesurer ma performance ?
Vous ne travaillez pas juste pour votre manager ou votre département, mais bien pour votre entreprise en général, donc autant bien la connaître !
12. Je me suis renseigné(e) sur la création de l’entreprise, mais pourriez-vous m’en dire un peu plus sur… ? (cette question est valable uniquement si vous ne pouvez pas trouver cette information par vous-même, sur le site de l’entreprise ou dans la presse)
13. De manière globale, quels sont les objectifs actuels de l’entreprise, et en quoi mon équipe y contribue ?
Les gens avec qui vous allez travailler tous les jours de la semaine durant les mois, voire les années à venir, ont une très grande influence sur la manière dont va se dérouler votre vie au travail. Essayez de vous projeter au sein de celle-ci pour voir à quel point vous serez capable de vous intégrer.
14. Pourriez-vous m’en dire un peu plus sur l’équipe avec qui je serais amené à travailler ? Quelle est l’ambiance de travail ?
15. Qui sera mon maître de stage/manager, et quelles sont ses responsabilités ?
L’ambiance est-elle plutôt collet monté ou babyfoot à l’heure du déjeuner ? Costard/cravate ou jean/baskets ? Ces règles de vie peuvent vous paraître futiles mais sont absolument indispensables à votre intégration. En étant observateur durant votre premier entretien, vous vous ferez déjà une très bonne idée de ces règles de vie, mais voici quelques questions qui vous permettront de creuser le sujet.
16. Comment décririez-vous l’ambiance de travail ? Plutôt collaborative ou indépendante ?
17. Organisez-vous des événements de « team building » ?
Avant de quitter l’entretien, assurez-vous d’avoir recueilli toutes les informations nécessaires sur la suite du processus de recrutement. Cela vous évitera, une semaine plus tard, de désespérer devant votre boîte mail vide alors que le recruteur n’a l’intention de vous recontacter que la semaine suivante. De même, faites en sorte d’éliminer toute trace de doute dans l’esprit du recruteur en lui posant ces dernières questions.
18. Quelles sont les prochaines étapes du processus de recrutement ?
19. Est-ce qu’il vous reste un point que vous souhaiteriez éclaircir sur mon parcours ou mes expériences professionnelles ?
En conclusion, poser des questions pertinentes lors d'un entretien est une étape cruciale pour faire bonne impression et se démarquer des autres candidats. En montrant votre intérêt et votre curiosité, vous démontrez votre engagement envers l'entreprise et le poste pour lequel vous postulez.
Les 19 questions présentées dans cet article sont conçues pour vous aider à obtenir des informations précieuses, à évaluer la culture de l'entreprise et à clarifier vos attentes. En posant ces questions, vous démontrez également vos compétences en communication et votre capacité à engager un dialogue constructif. N'oubliez pas de préparer ces questions à l'avance, en fonction de vos recherches sur l'entreprise et du contexte de l'entretien.
En utilisant ces questions comme un guide, vous serez en mesure de créer une impression mémorable et de vous rapprocher de votre objectif professionnel. Faites preuve de confiance, soyez authentique et montrez aux recruteurs que vous êtes le candidat idéal pour le poste. Bonne chance dans vos futurs entretiens !
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Le recruteur sait que vous n’avez probablement pas postulé uniquement à son annonce… votre mission c’est donc de le convaincre que parmi toutes vos candidatures, c’est celle-ci qui vous attire tout particulièrement, davantage que toutes les autres. À l’inverse, rien ne nuira plus à votre candidature qu’une lettre impersonnelle et passe partout.
Pensez également à adapter le ton à votre interlocuteur (un cabinet de recrutement ou le service RH d’une entreprise), ainsi qu’au type de poste.
Vous êtes en début de parcours et vous n’avez pas assez de contenu pour remplir des pages entières… c’est loin d’être un défaut, au contraire le recruteur en est bien conscient. Ne cherchez donc pas à compenser votre jeunesse par une longue lettre, soyez plutôt concis, précis et efficace.
Essayez donc d’être synthétique, de sélectionner les informations les plus intéressantes en vous mettant à la place du recruteur, et ne répétez pas votre CV. De la même façon, évitez les formules trop alambiquées et allez à l’essentiel. Enfin n’hésitez pas à vous appuyer sur des éléments de l’annonce pour vous assurer de frapper juste.
Vous avez déjà eu la désagréable expérience d’une bande annonce qui vous dévoile toute l’intrigue du film ? Vous n’aviez plus envie d’aller le voir… le mécanisme est le même avec une lettre de motivation trop bavarde.
Votre objectif est de faire un teasing, de lancer des pistes, d’évoquer des idées qui vont susciter la curiosité du recruteur et lui donner l’envie de vous rencontrer.
A travers votre lettre, le recruteur évaluera votre rigueur et votre structuration. Ne négligez donc pas la forme. Pensez à faire des paragraphes courts et aérés, dans une police agréable à lire et à justifier votre texte.
En conclusion, une lettre de motivation bien rédigée est un atout précieux dans votre arsenal de candidature. En suivant les clés présentées dans cet article, vous pouvez créer une lettre qui capte l'attention des recruteurs, met en évidence votre motivation et démontre votre adéquation avec le poste.
N'oubliez pas de personnaliser votre lettre, d'identifier les besoins spécifiques de l'employeur et de fournir des exemples concrets de vos compétences et réalisations. Une lettre de motivation convaincante montre votre engagement, votre enthousiasme et votre compréhension de l'entreprise et du poste.
Prenez le temps de peaufiner votre lettre, en veillant à ce qu'elle soit claire, concise et sans fautes d'orthographe.
Bonne chance dans vos candidatures futures !
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Vous avez peut-être eu la chance d’effectuer pour votre dernier stage, le fameux « stage de fin d’étude », un stage appréhendé par votre entreprise comme étant un stage de pré-embauche. C’est-à-dire que l’entreprise, en recherche de futurs employés, s’est servie de cette période de stage comme d’une période d’essai, afin de vérifier les compétences et le comportement du stagiaire pour pouvoir directement l’embaucher à la sortie.
C’est pourquoi il est très important de bien choisir son dernier stage. Le plus intéressant pour vous est de trouver une entreprise et des missions dans lesquelles vous pouvez vous projeter. Une fois que vous avez trouvé un dernier stage qui colle à vos envies, soyez proactif, montrez à votre futur employeur votre motivation. Comme il est toujours difficile d’avoir un retour objectif sur le travail accompli, n’hésitez-pas à demander à votre maître de stage de faire un point sur l’évaluation des missions qui vous ont été confiées. Enfin, fort de votre progression et votre implication au sein de l’entreprise vous pourrez proposer votre candidature avant la fin de votre stage. D’ailleurs, n’hésitez pas à faire un bilan à la fin du stage avec votre maître de stage en lui demandant de vous conseiller sur la pertinence de votre CV et pourquoi pas de vous écrire une lettre de recommandation. Tout appui est bon à prendre !
Si ce n’est malheureusement pas votre stage de fin d’étude qui vous ouvre les portes du premier emploi, ne désespérez pas pour autant. Tout au long de vos stages et diverses expériences, vous avez accumulé des contacts qui vont se révéler très utiles ! Et oui, vous avez créé votre propre réseau, composé de toutes les personnes avec lesquelles vous avez travaillé, échangé, étudié…
Commencez par faire le point sur votre réseau professionnel : qui avez-vous rencontré dans ce cadre et qui travaille aujourd’hui (ou a travaillé) dans une entreprise dans laquelle vous aimeriez être embauché ? Listez toutes ces personnes et contactez certaines d’entre ellespour leur demander des conseils en leur expliquant quelle est votre situation. Si elles ne peuvent pas vous aider dans l’immédiat elles penseront peut-être à vous dans les semaines à venir, lorsqu’elles entendront parler d’une opportunité qui pourrait vous intéresser.
Après avoir informé et sollicité votre réseau professionnel, élargissez au réseau personnel. Il y a forcément quelqu’un dans votre entourage proche ou un peu plus éloigné (la fameuse force des liens faibles) qui pourrait vous aider. Vous l’aurez compris, l’idée est de rendre visible votre recherche d’emploi auprès de tous vos réseaux afin d’augmenter les chances que l’on parle de vous où que l’on pense à vous pour une éventuelle opportunité. C’est une démarche qui se suffit rarement en elle-même mais peut augmenter vos chances de trouver, et ce en parallèle d’une recherche d’emploi classique.
Justement, pour la recherche d’emploi « classique », c’est-à-dire en postulant directement dans les entreprises, vos stages vont là encore vous être très utiles mais cette fois pour une autre raison. Vous avez accumulé de nombreuses et diverses expériences au fil de ces stages et c’est ce que vous allez devoir démontrer aux différentes personnes que vous allez rencontrer pour des entretiens.
On se heurte souvent au fameux « une expérience dans tel domaine est exigée » ou encore « vous manquez d’expérience professionnelle ». Au contraire toutes expériences vécues au cours d’un stage sont des expériences professionnelles à mettre en avant. Elles vont vous servir à démontrer vos compétences et que vous ne manquez pas d’expérience. Pour cela, il vous faudra être capable d’expliquer quelles sont les compétences que vous avez développées au fil des différentes expériences et en quoi cela fait de vous un bon candidat pour ce poste. Cela doit notamment être visible sur votre CV, en listant par exemple l’ensemble des missions accomplies pour chaque stage et éventuellement les réalisations concrètes effectuées. Malgré toutes ces expériences accumulées, vous ne pouvez pas tout savoir faire pour autant. C’est pourquoi il est important de ne pas hésitez à reconnaître ce que vous ne savez pas faire tout en assurant à l’employeur votre capacité à vous adapter et à apprendre rapidement comment effectuer l’une de vos futures missions.
De plus, à diplôme égal c’est souvent l’expérience qui fait la différence. Vous allez vous retrouver en concurrence non seulement avec toutes les autres personnes cherchant un emploi au même moment mais aussi avec certaines personnes de votre promotion ou de votre école. Vous risquez donc d’avoir l’impression qu’il va être difficile de sortir du lot face à cette vague de jeunes diplômés qui va postuler aux mêmes endroits que vous. Mais retenez bien que chacun d’entre vous est unique et que toutes les expériences vécues au cours de vos stages sont d’importants facteurs de différenciation par rapport aux autres diplômés.C’est pourquoi il ne faut pas hésiter à insister sur ce point, montrez comment ces stages ont créé de la valeur ajoutée, en plus de votre formation.
Enfin, n’oubliez pas de transposer vos expériences personnelles aux besoins de l’entreprise.Une même expérience peut être présentée de différentes façons en raison de la multiplicité de ses facettes. Soyez prudent à présenter ces expériences sous un angle susceptible d’intéresser l’entreprise, en cohérence avec le poste pour lequel vous postulez. Pour cela il est important de bien se renseigner au préalable sur le poste et l’entreprise et de travailler son argumentaire en fonction. Attention, il ne s’agit pas pour autant de mentir sur vos expériences et vos stages mais d’être le plus en phase avec les attentes de l’entreprise.
Article réalisé avec l'aide de Jobteaser
Vous êtes entrepreneur, jeune diplômé, ou étudiant, vous avez envie de présenter votre projet à une toute nouvelle connaissance, et hop vous vous emmêlez dans vos explications, vous parlez trop vite ou bafouillez, et la personne en face de vous a l’air perdu… L’elevator pitch est un exercice difficile mais essentiel. Ne vous inquiétez pas, nous allons vous offrir quelques conseils pour que vous le maîtrisiez sur le bout des doigts !
L’elevator pitch, qu’est-ce que c’est et pourquoi en avez-vous besoin ?
Vous prenez l’ascenseur et comble de la chance : vous vous retrouvez seul avec l’investisseur clé pour votre startup le temps de quelques étages. C’est à ce moment-là que vous devez présenter et synthétiser efficacement votre projet en moins d’une minute afin non pas de convaincre immédiatement votre interlocuteur de votre idée mais lui donner envie de vous revoir pour en apprendre davantage : c’est l’elevator pitch. Evidemment cette situation ne se limite pas à une rencontre fortuite dans l’ascenseur et vous y êtes vite confrontés dans tout événement networking ou soirée entre amis d’amis. L’important est d’y être suffisamment préparé pour ne pas battre en retraite ni se lancer tête baissée et confus !
Avant de préparer le contenu de votre elevator pitch, il faut avoir en tête ces guidelinesgénérales:
1. Maîtrisez la forme
On ne vous demande pas d’être charismatique comme Steve Jobs mais comme pour toute présentation orale, il y a des règles élémentaires à ne pas oublier : ne parlez pas trop vite, articulez clairement et prêtez attention à votre non-verbal. La situation doit être naturelle, il ne s’agit pas de se jeter sur la personne et de réciter son texte mécaniquement. Il paraît qu’il est conseillé de s’entraîner à répéter son pitch une allumette à la main afin de mieux gérer son stress le jour J!
2. Adaptez votre discours à votre cible
Qui est votre interlocuteur ? Quels sont ses intérêts, ses objectifs ? Quel message souhaitez-vous lui transmettre et qu’attendez-vous de lui ? Face à un auditoire d’investisseurs, de clients potentiels ou un public curieux à une conférence, votre discours aura probablement un angle d’approche personnalisé.
3. Privilégiez la clarté et la simplicité
Un bon pitch se doit d’être compréhensible pour tout le monde, y compris votre grand-mère ! Si vous avez des termes clés techniques, utilisez les mais raisonnablement, il ne s’agit pas d’assommer votre auditoire avec un jargon opaque. De plus, équilibrez entre le trop et le pas assez : délivrez les informations nécessaires sans révéler toute la magie de votre projet, n’oubliez pas : il faut qu’ils aient envie d’entendre la suite!
4. Soyez synthétique
Le pitch ascenseur ne porte pas son nom pour rien : vous avez entre 30 secondes et 1 minute avant de laisser filer votre interlocuteur hors de l’ascenseur, autrement dit de laisser filer son attention. Assurez-vous d’intégrer uniquement les éléments essentiels pour que l’auditoire comprenne rapidement de quoi vous parlez et quelle plus-value vous pouvez lui apporter (rendez-vous ci-dessous pour plus de détails !)
5. Pensez problème et non pas solution
Attention pour les entrepreneurs, personne n’attend de vous que vous lui apportiez la solution à un problème qu’il n’a pas ou qu’il ne connaît pas. Avant de décrire votre produit ou service en détail, expliquez d’abord à votre auditoire quel est le problème que vous avez identifié et ensuite en quoi votre solution est la meilleure pour le résoudre.
6. Faites rêver votre auditoire
Votre interlocuteur aura probablement entendu des dizaines de pitch avant vous dans la journée et le vôtre est sûrement loin d’être le dernier. Vous devez capter son attention et attiser sa curiosité. Pour cela, n’hésitez pas à partager la passion que vous avez pour votre projet, à raconter une histoire et à expliquer le pourquoi : n’oubliez pas, vous faites plus que vendre pour vendre, vous êtes en train de résoudre un problème que vous n’êtes pas le seul à avoir!
7. Soignez la fin de votre pitch
C’est presque la fin, vous avez fait un sans-faute, c’est le moment de confirmer l’intérêt que vous avez suscité et renforcer votre impact! Intégrez un “call to action” ,en permettant à votre interlocuteur de rebondir sur ce que vous dites et de vous proposer une seconde entrevue. Vous pouvez poser une question pour engager la conversation, lui offrir vos conseils ou services ou lui annoncer clairement ce que vous recherchez pour la suite (des fonds, des suggestions, des contacts etc.).
Prenons le cas d’un elevator pitch pour un entrepreneur (3 minutes maximum). Imaginez que vous êtes au rez-de-chaussée et voulez monter au dernier étage, là où l’investisseur de vos rêves va vous donner sa carte de visite ou vous fixer un prochain rendez-vous. Vous avez 10 étages à parcourir, soit 10 étapes à suivre pour ficeler un pitch efficace.
Les voici :
1. La value proposition
Vous devez pouvoir résumer en une phrase la proposition de valeur de votre entreprise : votre nom, ce que vous faites, pour qui et pourquoi vous êtes différents de vos compétiteurs. Exemple : Nous sommes Nom de la companie, nos produits/services aident segment de clientèle qui veulent aspirations en verbe (par ex: réduire) et verbe (par ex: augmenter) contrairement à proposition de valeur concurrente (“Value Proposition Design” A.Osterwalder, Y.Pigneur)
2. Le problème
Détaillez le problème que vous avez identifié, son contexte et les faits qui prouvent que le problème est réel.
3. La solution
Comment votre produit/service va résoudre ce problème ? Quelles sont ses particularités ?
4. Votre cible et l’opportunité de marché
Quel est votre segment de clientèle? Quelles sont ses caractéristiques ? Quels sont les chiffres et faits concrets qui prouvent qu’ils sont confrontés à ce problème actuellement ?
5. La compétition
Soyez crédibles, il apparaît peu probable que vous soyez seul sur le marché. Qui sont vos compétiteurs et comment vous différenciez-vous d’eux ?
6. Le produit
Détaillez les particularités de votre produit et ses avantages. Restez néanmoins réaliste et oubliez les formulations grandiloquentes.
7. Le business model
En bref, quelles sont vos dépenses et comment générez-vous vos revenus ?
8. Les projections financières
Montrez les prévisions financières (ventes, dépenses etc.) des 12 prochains mois à venir.
9. L’équipe
Étape très importante à ne pas négliger ! La relation avec un investisseur passe d’abord par la confiance. Qui êtes vous, quel est votre parcours ? Pourquoi êtes-vous les meilleurs pour ce projet ? N’hésitez pas à montrer à quel point les membres de l’équipe sont complémentaires.
10. Le “momentum” ou les milestones
Résumez rapidement ce que vous avez fait jusqu’à maintenant et quelles sont les prochaines étapes de l’entreprise. Cette partie permet d’ancrer la start-up dans la réalité et d’amorcer le call-to-action évoqué précédemment.
Enfin, répétez devant votre glace et pratiquez à toute occasion (pertinente évidemment), vous deviendrez chaque fois un peu plus efficace !
Pour aller plus loin :
Pitch anything, Oren Klaff
The new elevator Pitch, Chris Westfall
Pitch Perfect, Bill McGowan
Article réalisé avec l'aide de Jobteaser
Le stage de fin d’étude est souvent perçu comme l’étape déterminante dans la vie d’un étudiant, et un excellent tremplin pour être recruté ensuite par l’entreprise. Néanmoins, la question peut parfois être délicate à poser, et la concurrence à l’embauche est bien plus rude que pour un simple stage. Voici donc 4 étapes pour mettre toutes les chances de votre côté pour être recruté à l’issue de votre stage de fin d’étude !
Pour véritablement mettre toutes ses chances de son côté pour être recruté à la fin de son stage de fin d’étude, il faut tout d’abord comprendre pourquoi ce stage de fin d’étude peut parfois être essentiel pour l’entreprise. Ce n’est qu’une fois que vous aurez mesuré les enjeux de ce stage que vous songerez à agir en fonction.
On le répète souvent en école : le stage de fin d’étude est le stade final, l’étape déterminante qui vous aidera à trouver un emploi. Un conseil bien connu également, est de choisir stratégiquement son stage de fin d’étude, afin de le faire directement dans l’entreprise que l’on vise pour son premier emploi. C’est qu’en effet le stage de fin d’étude peut être un pari gagnant-gagnant, à la fois pour l’entreprise et pour l’étudiant. Pourquoi donc ?
Maintenant que vous saisissez les enjeux que sous-tend le stage de fin d’étude, vous pourrez adopter « l’esprit de pré-embauche ». Et cet esprit implique que vous devenez un véritable acteur dans l’entreprise, et non plus un simple étudiant spectateur en formation. Trois mots sont donc à garder en tête : cohérence, initiatives (prise d’initiatives) et proactivité.
Une fois que vous aurez l’esprit de pré-embauche, vous pourrez être un véritable acteur dans l’entreprise, et une scène très importante sur laquelle vous devrez jouer est celle de votre suivi. En effet, un employeur qui envisage de recruter un stagiaire organisera régulièrement des points de suivi de stage. N’oubliez pas qu’il s’agit pour lui de l’équivalent de votre « période d’essai » et qu’il vous évaluera donc régulièrement. Quatre conseils sont donc à mettre en œuvre sur ce point :
Maintenant que vous avez mis toutes les chances de votre côté, vient le moment de passer à l’acte.
Article réalisé avec l'aide de Jobteaser
Avant, les grandes entreprises régnaient en maître dans l’esprit des recruteurs. Avoir une entreprise inconnue sur son CV ne vous était pas d’une grande aide au moment de trouver votre premier emploi. Heureusement, depuis 2 ou 3 ans, les choses ont changé. Avec l’accroissement du nombre de startups françaises, et l’attraction que celles-ci exercent sur les étudiants venant des meilleures filières, ce type de stage est maintenant très valorisé par les recruteurs.
Evidemment, ce choix entre une grande entreprise et une startup dépendra in fine de vous : de vos aspirations professionnelles, de votre mode de travail et de votre personnalité. Il nous est impossible de vous apporter une réponse tranchée à la question : « Vaut-il mieux faire un stage dans une startup ou dans une grande entreprise ? », puisque c’est à vous de faire ce choix en toute connaissance de cause. Voici quelques critères qui peuvent vous aider à choisir !
Nota bene : nous parlons bien ici des « petites » startups, celles qui viennent d’être créées et amorcent leur croissance, et non des « licornes », ces startups qui dépassent les 100 employés et ont déjà des process bien établis.
Une start-up se définissant notamment par la taille assez réduite de son équipe, vous appellerez certainement ses fondateurs par leur prénom, et il est tout à fait probable que vous soyez amené à travailler directement avec eux. Ils vous apporteront ainsi leur connaissance poussée du secteur, vous aurez une vision plus précise de la stratégie de croissance de la start-up et des raisons qui se cachent derrière décisions importantes qu’ils prennent au quotidien. Vous apprendrez donc énormément à leur contact, autant au niveau technique que stratégique.
L’avantage d’avoir une équipe réduite est que vous connaîtrez très rapidement tout le monde, et vous serez intégré très rapidement pour une simple et bonne raison : un cerveau supplémentaire n’est jamais de trop pour ce type de structure où tout le monde se noie sous le travail. Tout nouveau projet, le lancement d’un produit, la préparation de la levée de fonds, demande tellement d’énergie que tout le monde est mis à contribution. Vous aurez donc très rapidement le sentiment d’avoir participé au même titre que les autres membres de l’équipe aux nouveautés de l’entreprise, vos actions auront un aspect indéniablement tangible, ce qui est particulièrement gratifiant.
Un grand nombre de startups sont nées d’une conviction profonde de leurs fondateurs, une envie de prouver quelque chose, de proposer une meilleure solution. Les fondateurs sont poussés autant par la volonté de faire prospérer leur entreprise que par leur passion. Cet état d’esprit est très communicatif, et si vous cherchez un stage qui ait un sens pour vous, autre que celui de faire avancer votre parcours, rien ne vaut une expérience en startup.
La communauté des start-up est un tout petit monde : les créateurs d’entreprise se rencontrent au gré des formations, des soirées organisés,… Si vous suivez un peu les actualités événementielles du milieu, vous vous rendrez vite compte que vous croisez toujours les mêmes personnes, et au bout de six mois de stage, vous connaîtrez toujours quelqu’un qui connaît quelqu’un qui travaille dans telle ou telle start-up qui vous intéresse. Si ce n’est pas vous qui connaissez ces personnes, ce sera le fondateur, qui sera ravi de vous recommander si votre stage s’est bien passé. Bref, une fois que vous êtes dans le milieu, il est très facile (et très tentant) d’y rester.
Selon la taille de la startup, vous serez sans doute amené à travailler dans le même open-space que tout le reste de l’équipe, et vous ferez partie d’un bon nombre de projets faisant partie intégrante du développement de cette startup. En étant suffisamment attentif, vous pourrez donc glaner un grand nombre d’informations sur la stratégie globale de votre entreprise, son placement et sa stratégie de différenciation par rapport à ses concurrents. Cela vous permettra de voir comment se monte une entreprise, les difficultés auxquelles elle peut être confrontée, comment les surmonter ou comment se remettre de ses erreurs. Pour ceux qui ont l’intention de monter leur propre entreprise plus tard, c’est une expérience inestimable.
Le principe d’un stage en start-up, c’est que vous allez pouvoir toucher à tout. Si vous êtes dans une très petite startup, vous allez toucher autant à l’aspect communication qu’à l’aspect commercial voire à l’aspect technique, et votre job sera plus celui d’un couteau suisse que celui d’un stagiaire. Vous allez pouvoir interagir de manière très proche avec tous les pôles fondamentaux d’une entreprise, et vous allez avoir une participation active dans la prise de décision. Vous sortirez de ce stage avec une vision très globale du fonctionnement d'une entreprise, vision que n'a pas forcément quelqu'un qui a fait son stage dans une grande entreprise, où le travail est réparti par équipe qui sont assignées à des tâches précises.
Dans une startup, la différenciation entre stagiaires et employés est assez mince. Vous pourrez vite monter en responsabilités si leur prouvez que vous êtes compétent, digne de confiance, et que vous savez prendre des initiatives. Si vous avez la chance d’y faire votre stage de fin d’études et d’être recruté à la fin de celui-ci, il est tout à fait probable que ce soit pour un poste à hautes responsabilités : directeur commercial, CTO,… Alors que dans une grande entreprise aux process hiérarchiques bien établis, il vous faudrait au moins trois ans sur un poste de junior pour accéder à des responsabilités qui restent encore moindres.
Le pendant d’un stage en startup est que vous allez creuser chacun des sujets abordés un peu moins en profondeur que vous ne le feriez dans une grande entreprise. Les startups ont moins de temps à consacrer à votre formation, et vous serez très rapidement plongé dans le bain de l’opérationnel de manière autonome. Pour ceux qui ont plus de difficultés à apprendre par eux-mêmes et qui redoutent la possibilité de faire des erreurs, cette autonomie risque d’être mal vécue.
De fait, les dirigeants d’une startup auront envers vous le même niveau d’exigence qu’envers leurs employés : vous allez devoir apprendre à jongler avec les deadlines de dizaines de projets, et il est probable que vous vous retrouviez à devoir travailler (beaucoup) plus tard que d’habitude pour pouvoir finir à temps. Ou même à animer un stand sur un salon le temps d’un week-end, tout peut arriver !
Par définition, les startups ont moins de budget que les grands groupes. Le montant de votre gratification de stage s’en ressentira forcément : il est plus que probable que vous soyez payé au minimum légal. De même, vous ne bénéficierez pas des avantages classiques dont bénéficient les stagiaires qui sont dans de grandes entreprises: restaurant d’entreprise ou tickets restaurants, Comité d’Entreprise, voire une salle de gym sur place …
A partir du moment où vous rentrez dans l’univers des grandes entreprises, que ce soit en commercial, en informatique, ou en marketing, les parcours hiérarchiques sont souvent tout tracées : deux ou trois ans sur un poste junior, quelques années sur un poste de manager puis vous pourrez ensuite prétendre à un poste bien placé. Dans une startup, l’avenir est plus flou. Vous êtes à un bon poste maintenant, mais qui vous dit que votre entreprise existera encore dans trois ans ? Un nouveau concurrent plus agressif peut apparaître, une erreur de stratégie aux lourdes conséquences peut être commise,…
Si vous faites votre stage dans une start-up, vous serez sans doute mis en difficulté au moment lors de votre prochain processus de recrutement. Les recruteurs attendront de vous une connaissance suffisamment poussée de l’entreprise, de son secteur et de sa valeur ajoutée pour que vous puissiez répondre à leurs questions. Prenez du recul et n’hésitez pas à rester critique en parlant également des points faibles de l’entreprise si vous en avez repéré. Vous n’êtes pas là pour vendre votre start-up, mais pour parler de votre expérience. Cet exercice demande donc de plus grandes capacités d’analyse, et une certaine maturité : si vous le faites bien, vous pouvez être sûr d’avoir marqué des points auprès du recruteur en face de vous !
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]]>Futur jeune diplômé ou en recherche d’emploi, vous avez envoyé des dizaines d’e-mails restés sans réponse, essuyé des dizaines de refus. L’angoisse se fait sentir et vous commencez à vous demander désespérément si quelqu’un voudra bien vous embaucher un jour… Mais saviez-vous que 70% d’entre vous trouvent un travail grâce à leur réseau ? Pas de panique, on vous explique comment l’utiliser pour dénicher le job qui vous fait rêver : simple et efficace !
Avant de vous en dire plus, mettons les choses au clair. Qui dit réseau, dit piston, dit « je ne suis pas embauché(e) réellement pour mes capacités » ou « j’ai triché ». Non ! Quand on parle ici d’utiliser votre réseau, il s’agit de mobiliser des ressources afin de trouver le bon contact, au moment opportun, qui vous servira de tremplin pour accéder au poste qui vous correspond le mieux.
« Je vais aller networker un peu avec des Alumni ». Que vous ayez ou non déjà entendu cette phrase, il va falloir vous l’approprier ! Le networking ou réseautage est l’art de construire un réseau de relations essentiellement professionnelles, généralement lors de rencontres réelles ou virtuelles, formelles ou informelles. Plus spécifiquement, le réseau des «Alumni» désigne, quant à lui, l’ensemble des anciens étudiants de votre école/université. Il en existe généralement dans les écoles de commerce et d’ingénieurs mais de plus en plus également dans les universités et autres établissements.
Vous voilà convaincu(e) des bienfaits de ne pas se lancer seul(e) dans la jungle de l’emploi ! Vous trouverez ci-dessous quelques recommandations générales ainsi que des conseils spécial LinkedIn et spécial Networking.
4 maître-mots à retenir :
1) Mobilisez votre entourage : Sans pour autant que votre grand-mère vous fasse de la publicité au marché, il est toujours utile que vous entourage soit en alerte et prêt à vous recommander. Pensez à glaner des informations auprès d’autres étudiants qui ont déjà déniché un emploi. Vous pouvez également solliciter certains professeurs avec qui vous auriez tissé des liens de confiance.
2) Adhérez à l’association des Alumni
3) Rejoignez le groupe Alumni de votre école sur les réseaux sociaux : Il est fort probable que votre réseau Alumni soit répertorié sur LinkedIn par exemple, intégrez-le sans tarder afin de commencer une recherche plus ciblée (voir ci-dessous).
4) Choisissez les bons réseaux sociaux : Au-delà de LinkedIn et Viadeo, il existe de nombreux réseaux spécialisés dans la recherche d’emploi, certains étant spécialement réservés aux étudiants et jeunes diplômés (JobTeaser est l’un d’entre eux par exemple !) , d’autres spécialisés dans un secteur d’activité.
5) Assistez aux événements de votre école : Conférences et workshops sont d’excellentes opportunités d’apprendre mais aussi de rencontrer les bonnes personnes. Profitez-en pour y participer en tant qu’organisateur. Ce sera une excellente opportunité de côtoyer et d’échanger directement avec les intervenants.
6) Assistez aux événements/afterwork networking : Qu’ils soient organisés par votre école avec des alumni ou hors cadre scolaire, ce sont des mines d’or pour booster votre recherche d’emploi comme votre motivation !
7) Assister aux salons professionnels d’entreprises : Ici les recruteurs vous sont amenés sur un plateau, ou quasiment ! Participez aux job-dating ou speed-networking qui vous permettent de présenter vos motivations aux entreprises et de nouer un premier contact.
Selon l’Institut Ipsos, il suffirait d’au moins 9 minutes par jour sur les réseaux sociaux pour faire avancer votre carrière ! Comment tirer pleinement profit de ces 9 minutes ?
N’oubliez pas, 9 minutes par jour ou non, la constance et la régularité sont vos meilleurs amis dans le marathon pour l’emploi. Ne vous cantonnez pas à une seule personne, prenez contact avec plusieurs alumnis ou autres professionnels.
Gérer son réseau en ligne augmente les chances d’être recruté(e), et le gérer en plus en face à face permet de les doubler ! Voici quelques conseils additionnels pour ceux qui ont du mal à networker :
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]]>Les quelques mots qui s’affichent en-dessous de votre photo sont d’une importance cruciale : c’est grâce à eux que les recruteurs vont décider, ou non, d’aller visiter votre profil. Ce « statut professionnel » ne doit donc pas forcément être l’intitulé exact de votre poste actuel mais plutôt ce que vous recherchez, et en quoi vous faites la différence : votre aire de spécialisation, ou une qualité spécifique. Une bonne façon de vous différencier des profils qui n’ont pas mis à jour leur statut professionnel !
N’oubliez pas également de renommer l’url de votre profil public afin d’apparaître plus facilement dans les moteurs de recherche : fr.linkedin.com/in/prenomnom. Vous pouvez la modifier depuis l’interface d’édition de votre profil en cliquant sur l’url en dessous de votre photo
Les recruteurs ont accès à deux choses avant de cliquer sur votre profil pour le regarder : votre statut professionnel et votre photo de profil. Celle-ci doit donc faire 50% du travail et n’est pas à négliger. Au même titre que la photo que vous mettez sur votre CV, elle doit être professionnelle : fond blanc ou noir, tenue professionnelle, sourire de circonstance, et de préférence prise par un photographe professionnel. Evitez à tout prix les photos de vacances recadrées. Si vous avez, n’hésitez pas à mettre une photo de vous sur scène lors d’une conférence professionnelle : cela montre à la fois votre engagement, votre expertise et vos centres d’intérêts.
Vous en avez une, mais vous n’êtes pas sûr qu’elle convienne tout à fait ? Si vous n’avez pas envie de demander à vos amis ce qu’ils pensent de votre photo de profil LinkedIn, vous pouvez passer par PhotoFeeler, un site qui soumet votre photo aux avis de la communauté et vous donne un retour sur trois critères : les niveaux de compétence, de sympathie et d’influence ressentis.
C’est une fonctionnalité assez récente : vous pouvez désormais ajouter une photo de couverture à votre profil LinkedIn. Il faut bien se dire une chose : 90% des informations que l’on retient quotidiennement viennent d’un support visuel. Les informations que vous pourrez faire passer par cette photo de couverture sont donc essentielles. C’est l’occasion pour vous de mettre en avant vos principales compétences, ou votre principal centre d’intérêt (qui se rapporte à votre travail), ou encore de vous montrer sous une lumière avantageuse, en mettant une photo de vous en train de faire un discours sur scène dans un cadre professionnel (voire associatif). Toute information que vous arriverez à faire passer via cette photo de couverture sera retenue par les personnes qui visitent votre profil, donc profitez-en !
Afin de trouver des candidats qui correspondent à leurs attentes, les recruteurs utilisent facilement le moteur de recherche de Linkedin. Certains mots clés, qui peuvent se rapporter aussi bien aux compétences qu’aux titres de postes, sont à placer dans différentes catégories de votre profil afin d’y optimiser votre référencement.
Tout ceci est plus facile à dire qu’à faire… pour les ajouter sur votre profil, encore faut-il savoir lesquels sont recherchés par les recruteurs. Nous avons plusieurs techniques à vous proposer :
Comme mentionné plus tôt, les informations les mieux retenues sont les informations munies d’un support visuel. Cela vaut donc pour la totalité de votre profil ! LinkedIn vous permet d’uploader des exemples de votre travail (lien, image, vidéo, présentation,…) pour chacune de vos expériences, ce qui permet d’apporter une dimension véritablement concrète à vos expériences et à votre profil en général.
En entretien, il est indispensable d’illustrer ce que l’on dit et les compétences que l’on s’attribue par des exemples issus de ses expériences professionnelles, et sur LinkedIn, c’est la même chose. Communiqué de presse, article de blog, support de communication ou vidéo : tout ce qui relève du cadre professionnel, et qui n’est pas confidentiel, ne pourra que vous servir.
Vous aurez certainement remarqué qu’il était possible de recommander les compétences de vos relations sur LinkedIn. Plus vos compétences seront recommandées par vos collègues (ou ex-collègues), plus vous remonterez dans les moteurs de recherche et plus vous augmenterez vos chances de vous faire remarquer par les recruteurs. Mais attention, les recommandations les plus appréciées seront celles qui viennent de votre employeur, de vos clients ou de vos collègues. Refusez donc celles qui viennent de vos amis ou même de personnes que vous ne connaissez pas.
Seulement, cette démarche n’est pas un réflexe pour tout le monde. N’hésitez donc pas à demander à vos collègues ou anciens collègues de le faire sur votre profil : vous pouvez le faire directement depuis la rubrique compétences de votre profil LinkedIn. Afin d’être sûr de vous faire recommander pour les compétences que vous estimez les plus importantes (et non pour Excel ou Word), vous pouvez même aller jusqu’à leur glisser un petit mot à ce sujet.
Cette partie du profil LinkedIn est occultée par une majorité d’utilisateurs, qui ne prennent pas le temps de l’écrire. Pourtant, en période de recherche de stage ou d’emploi, il revêt une importance toute particulière : il vous permet « d’accueillir » la personne qui visite votre profil en lui disant pourquoi ce secteur/métier vous intéresse, et quels sont vos objectifs actuels, ce que vous ne pouvez indiquer nulle part d’autre.
Même si son niveau d’originalité dépend du secteur dans lequel vous travaillez, ce résumé est plus personnel qu’une lettre de motivation. Il doit montrer en quoi vous vous différenciez des autres professionnels de votre domaine ou des autres étudiants de votre école, le tout accompagné d’exemples qui peuvent s’appliquer à un cadre professionnel. Veillez à être clair sur vos motivations actuelles. Précisez ce que vous recherchez actuellement (un stage/emploi, ou simplement vous constituer un réseau) et ce que vous aimeriez que la personne qui arrive sur votre profil fasse : « Je suis toujours ouvert à de nouvelles opportunités, n’hésitez pas à me contacter à l’adresse suivante : example@example.com »
Rejoindre des groupes Linkedin qui correspondent à votre profil et suivre les pages des entreprises que vous ciblez vous sera utile pour deux choses :
De plus, une des pratiques des recruteurs à la recherche de bons candidats consiste à regarder la liste des membres des groupes qui les intéressent pour repérer des professionnels d’un domaine spécifique. Comme le dit très bien LinkedIn dans ses newsletters : « One profile view could be the next step in your career ».
Enfin, n’hésitez pas à fouiller vous-même ces listes de membres et à cliquer sur les profils qui vous semblent pertinents. En effet, comme vous le savez certainement, une notification est envoyée à chaque utilisateur qui reçoit une visite sur son profil. Vous pouvez aussi amorcer une conversation en lui envoyant une demande de mise en relation personnalisée.
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Article rédigé avec l'aide de jobteaser.com
S’il y a bien une phrase qui revient très fréquemment aux lèvres des étudiants ou jeunes diplômés en pleine recherche, que ce soit de stage ou d’emploi, c’est celle-ci : « Je passe un temps fou à postuler à un grand nombre d’offres, mais je n’ai aucun retour ! »
Une des erreurs les plus communes consiste à penser que plus grand sera le nombre d’entreprises auxquelles vous postulez, plus vous aurez de retours. C’est l’erreur la plus répandue mais surtout la plus pénalisante.
La manière la plus efficace de trouver l’emploi ou le stage qui vous conviendra le mieux consiste à cibler vos entreprises idéales : celles qui vous intéressent, dont vous partagez les valeurs et qui ont besoin de vos compétences. Cela vous évitera de vous disperser et en vous concentrant en priorité sur ces entreprises, vous aurez plus de temps pour construire des candidatures de meilleure qualité.
Vous avez réussi à construire votre liste d’entreprises, félicitations. Malheureusement, votre travail ne s’arrête pas ici. En effet, une lettre de motivation et un CV génériques sont tout à fait à même de ruiner toutes vos chances d’obtenir un entretien. Il suffit d’un simple coup d’œil au recruteur pour faire la différence entre un CV qui a été personnalisé pour l’offre et le CV à « taille unique » qui a été envoyé à toutes les entreprises de votre liste.
Comment faire ?
Une (très) grande majorité des CV sont lus sur ordinateur, voire même sur mobile. Le premier tiers de votre CV est donc d’une importance majeure et doit immédiatement capter l’attention du recruteur pour lui donner envie d’amener sa souris jusqu’en bas de celui-ci.
Commencez par réduire vos informations personnelles au strict minimum : nom/prénom, numéro de téléphone, adresse mail et url Linkedin. Pas besoin d’indiquer votre adresse postale, très peu de recruteurs y prêtent attention. Cela vous permettra de gagner de la place et de remonter les informations les plus intéressantes.
Cela va sans dire à ce stade : votre CV ne doit faire qu’une seule page et être suffisamment aéré pour être agréable à lire. Cette règle s’applique tout particulièrement aux étudiants et aux jeunes diplômés : vous n’avez que un ou deux ans d’expérience, voire pas du tout si vous cherchez votre premier stage. Si votre CV est déjà plein à craquer à ce stade, comment allez-vous faire quand vous en serez à votre deuxième, voire troisième emploi ?
Même si vous pensez qu’un CV plus détaillé vous permettra de mettre plus en avant vos compétences, cela peut aussi avoir des effets assez pervers : ennuyer votre recruteur s’il voit trop de contenu qui ne l’intéresse pas, et surtout l’éloigner de votre but, qui est de lui montrer que vous êtes LA personne faite pour ce poste.
Pour décrire ses précédentes expériences sur un CV, faut-il énumérer ses missions? Si vous avez répondu oui à cette question, vous vous y prenez de la mauvaise manière. Il est toujours plus avantageux de parler du résultat de votre mission, et de préférence de manière chiffrée, que du contenu de la mission en elle-même.
Exemple : « Optimisation du temps consacré à la tâche X de 50% pour une économie de XXXXX € sur 6 mois» plutôt que « Implémentation d’une nouvelle solution d’optimisation de la tâche X »
Le recruteur ne regardera jamais de haut le contenu d’une mission, mais il risque de ne pas comprendre ce que cela a pu apporter à l’entreprise, et de passer à côté de l’importance de la mission. Gardez bien en tête le fait que votre CV va être regardé par un chargé de recrutement avant d’être regardé par un opérationnel, et qu’il vous faut donc être le plus explicite possible en termes de résultats.
Mettez-vous deux minutes à la place du recruteur : vous avez pour mission de recruter quelqu’un pour un poste très important, et vous avez réussi à réduire le vivier de candidats à deux personnes qui vous semblent convenir parfaitement. Sur le point de prendre votre décision finale, vous allez regarder leurs profils sur Linkedin. L’un d’entre eux a un profil particulièrement complet : un résumé bien argumenté, un grand nombre de contacts et des recommandations de la part d’autres professionnels. L’autre a deux contacts en tout et pour tout, pas de photo de profil, et n’a même pas pris le temps d’indiquer ses précédentes expériences.
Qui choisiriez-vous ?
Un nombre maintenant majoritaire d’entreprises utilisent Linkedin comme composant essentiel de leur processus de recrutement. C’est donc sur Linkedin que vos potentiels employeurs iront en premier après avoir lu votre CV ou vous avoir eu en entretien. Si vous n’avez pas encore de profil, il est temps de vous y mettre !
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]]>Si le recruteur vous pose cette question, c’est qu’à moment ou à un autre, vous avez laissé entendre que vous aviez un niveau suffisant dans cette langue pour assurer une conversation. La pire réponse que vous pourriez donner à ce moment-là serait donc un simple non sous prétexte que « Là, comme ça, ce n’est pas facile, je ne me suis pas préparé. »
Deux choix donc : soit vous assurez, parce que vous avez effectivement un très bon niveau dans cette langue, félicitations. Soit vous balbutiez un peu et vous faites quelques fautes de grammaire ou de langue mais vous essayez quand même. Dans tous les cas, allez-y, le recruteur peut tout à fait comprendre que vous soyez sous le coup du stress et vous le pardonnera plus facilement que si vous ne faites même pas l’effort d’essayer.
Conclusion : ne mentez jamais sur votre CV. Tout ce que vous dites est vérifiable, et est susceptible d’être vérifié par un recruteur un peu plus pointilleux que les autres. Rien de plus déceptif qu’un candidat malhonnête !
Fort d'avoir habité aux Etats Unis et de travailler à 90% du temps en anglais, je pourrai si vous le souhaitez travailler avec vous un entretien en anglais, un CV anglais ou encore un lettre de motivation en anglais.
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]]>Vos parents vous ont toujours dit de ne pas parler aux inconnus quand vous étiez petit, non ? Là, c’est exactement la même chose. Une fois que vous avez commencé à lancer plusieurs candidatures, ne répondez pas au téléphone si vous ne connaissez pas le numéro, car la personne à l’autre bout du fil pourrait très bien être un recruteur. Laissez-lui plutôt le temps de vous laisser un message sur votre boîte vocal, ce qui vous permettra d’identifier l’entreprise et le poste pour lequel on vous rappelle. Vous aurez donc toutes les cartes en main au moment de rappeler ce recruteur et vous ne perdrez pas ces quelques précieuses minutes dont vous auriez eu besoin pour vous remémorer le poste en question.
Si jamais vous avez quand même eu le malheureux réflexe de décrocher, profitez du moment où le recruteur vous demandera « Je ne vous dérange pas ? » pour dire que vous n’êtes malheureusement pas disponible immédiatement et lui demander quelles sont ses disponibilités dans la journée pour pouvoir le rappeler.
Pas besoin de lui ressortir tout votre CV, il l’a probablement sous les yeux. Soyez synthétique et rappelez simplement les expériences et compétences qui ont un rapport direct avec le poste que vous convoitez.
L’avantage de l’entretien téléphonique, c’est que personne ne voit ce que vous faites. Vous avez donc tout à fait le droit d’avoir sous les yeux le descriptif de poste, une fiche mémo avec les principaux points clés à savoir sur l’entreprise, votre ordinateur ouvert devant vous sur une nouvelle page Google au cas où vous auriez besoin de faire une recherche éclair,… Bref, tout est permis, alors ne vous en privez pas !
Le risque quand on n’a pas l’habitude des entretiens téléphoniques, c’est d’être trop stressé, de parler trop vite, voire de carrément couper la parole à son interlocuteur. Rien de pire quand on sait qu’une des principales qualités d’un étudiant ou d’un jeune diplômé est d’être capable d’écouter, et de prendre en compte les remarques de ses collègues ou supérieurs. Un des moyens de vous tempérer est d’instaurer des pauses dans votre discours. Cela aura plusieurs avantages :
Attention cependant à ne pas en faire trop, et à rester dynamique pour intéresser votre interlocuteur. Prenez un kit mains libres qui vous permettra de faire cet entretien debout et de pouvoir bouger autant que vous le désirez, comme si vous étiez réellement en face de votre interlocuteur. Avec ça et un sourire, vous réussirez à faire passer votre dynamisme et votre professionnalisme.
Demandez quelles sont les prochaines étapes et quel délai le recruteur s’est fixé pour prendre sa décision. En plus de montrer subtilement au recruteur que vous êtes réellement intéressé par le poste, cela vous permettra de savoir quand le relancer si besoin est.
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Par email: moncoachentretien@gmail.com
Tél: 0658185037
Cet article a été rédigé avec l'aide de Jobteaser.com
La première impression! La fameuse!
Toute première impression n'est pas toujours la bonne mais elle est en tout cas très dure à être changée. Ce sera la même chose pour le recruteur qui aura rapidement une idée sur vous et sur le fait de savoir s'il va poursuivre l'entretien avec l'envie d'en savoir plus ou s'il s'est déjà fait à l'idée que vous ne conviendrez pas et alors il s'agira de sortir les rames pour le faire changer d'avis.
Vous l'aurez compris les premières minutes sont cruciales.
Souvent le recruteur commencera par se présenter rapidement puis présenter l'entreprise, les activités, le poste/stage en question et finira son introduction par :
"Et maintenant je vous laisse la parole, présentez vous"
Maintenant que votre employeur vous a situé sur la map des candidatures, il faut que vous vous définissez plus en profondeur : sur vos valeurs, vos envies, vos attentes, votre détermination.
Vous venez de terminer sur une expérience marquante, ce qui va vous permettre d’enchaîner sur votre personnalité. Par exemple :
Désormais, il s’agit de développer vos projets en insistant sur votre motivation, et justifier vos compétences par des exemples précis.
Gardez à l’esprit qu’il vous faut être le plus concis précis, et c’est précisément ce que vont vous permettre l’utilisation des mots-clés : oubliez les phrases à rallonge, faites des phrases simples, courtes, mais efficaces. Un mot-clé, un petit exemple significatif : soyez le plus clair possible pour faciliter la compréhension de votre employeur.
Enfin, se pose maintenant la question la plus importante : Pourquoi je suis là ? Pourquoi avoir postulé ici ?
Parfois, on se pose toutes sortes de question. Qu’est-ce que j’ai fait et qui peut les intéresser ? Quelles sont mes compétences ? Quelles sont mes expériences ? Alors on passe bien souvent à côté de la chose la plus essentielle : il ne faut pas tourner la chose autour de nous, mais autour de l’entreprise.
Ne soyez pas une personne anonyme avec le « bon profil ». Démarquez-vous en justifiant pourquoi vous, votre parcours, votre manière de voir, de penser, de travailler peut leur apporter quelque chose. Soyez sûr de vous et expliquer pourquoi vous êtes là. Plusieurs possibilités se présentent alors :
Cette étape va marquer la fin de votre présentation, et il est donc indispensable que l’employeur se souvienne de vous. Dites clairement ce qui vous plaît chez eux et ce que vous pouvez apporter. C’est le moment, très clairement, de vous imposer.
En définitive, n’oubliez pas qu’un entretien réussi est un entretien où, à la fin de la journée, votre employeur se souvient de vous, de l’impression que vous lui avez faite. Que ce soit par votre dynamisme, votre volonté de travailler, votre bonne humeur, ou même votre curiosité ou sérieux, imprimez votre marque.
Cela passe aussi par votre attitude face à l’employeur : le sourire, le regard droit dans les yeux, l’écoute, le geste des mains pour marquer votre propos, la posture bien droite, la voix claire et affirmée… Songez que si cela ne passe pas, vous n’allez probablement pas revoir l’employeur de suite, donc n’ayez pas de honte et donnez tout ce que vous avez. Vous n’avez rien à perdre, et n’oubliez pas qu’un employeur vous prendra pour ce que vous êtes, au naturel.
En termes de timing, si vous devez vous présenter en trois minutes par exemple, vous pouvez compter :
Maitriser toutes les clés de l'entretien nécessite de l'entrainement afin de gagner ces automatismes.
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Avant de vous lancer dans la refonte intégrale de votre CV, il est toujours bon de garder à l’esprit que la majorité des recruteurs consacrent en moyenne 6 secondes à la lecture des CV qu'ils reçoivent. Autant dire, presque rien. Essentiel, le CV est la première impression que l’employeur se fera de vous. Il est la porte d’entrée au process de recrutement et vous donnera accès aux autres étapes de sélection, si votre candidature est pertinente. Il est donc important de peser chaque mot lors de la rédaction de ce document.
Si vous avez déjà postulé à différentes offres mais que vous n'avez pas reçu, ou très peu, de retours c'est que votre CV n'est pas optimal. Ou que vous avez envoyé le même pour chaque poste envisagé. C'est une première règle pour un CV percutant : le personnaliser en fonction de chaque mission et entreprise...
Si vous avez exercé le même métier au sein de plusieurs entreprises, il ne sert à rien de répéter les mêmes informations d’un poste à l’autre. L’effet « catalogue » rend la lecture laborieuse et le recruteur ne prendra pas la peine d’approfondir votre candidature. Au contraire, mettez plutôt en valeur ces expériences en misant sur le détail de vos missions et en exposant vos réussites chiffrées.
Force est de constater qu'il n'est pas toujours évident de distinguer ce qui est crucial de ce qui est superflu dans un CV, et au bout de X années à travailler, le risque serait de vouloir indiquer toutes vos expériences. Ne listez pas la moindre de vos qualifications, compétences ou projets sur lesquels vous avez travaillé. Votre CV en deviendrait vite indigeste. Faites au contraire une sélection des missions les plus pertinentes correspondant au poste auquel vous postulez. De même, passé un certain temps, vos jobs d’été n’auront pas forcément d’intérêt après du recruteur…
Antichronologique ! Commencer à raconter son parcours professionnel en démarrant par la dernière expérience en date peut sembler étrange. Mais c’est bien plus parlant pour le recruteur. Les dernières compétences et expériences acquises sont en effet les plus parlantes. Surtout si vous avez déjà changé plusieurs fois de postes au cours de votre carrière. Lui rappeler votre premier emploi d’il y a 15 ans ne lui apportera guère d’informations vous concernant. De même, sauf à être un jeune, très jeune diplômé, ne démarrez pas votre CV par vos formations mais par vos expériences professionnelles…
Si le CV antichronologique est fortement conseillé, il est parfois plus justicieux d’opter pour un CV thématique. Cette façon de présenter ses expériences colle parfaitement à des profils atypiques ou dont la carrière est « à trous ». Plutôt de présenter toutes vos expériences, rassemblez alors celles qui sont similaires ou en tout cas très proches. Cela donnera davantage de cohérence à votre CV et simplifiera le travail du recruteur.
Vous ne savez pas vraiment ce qu’il convient de détailler ou non ? Imaginez-vous à la place du recruteur à la lecture de votre CV : quelles questions se pose-t-il ? Les informations fournies sont-elles pertinentes et assez développées ? Ou, au contraire, sont-elles inutiles ? A noter : s'il y a des "trous" dans votre parcours, dites-vous que le recruteur le remarquera. N'hésitez donc pas à les expliquer dans votre lettre de motivation.
La tentation est souvent là de « gonfler » le CV pour se différencier et montrer que l’on est fait pour le poste, quitte à amplifier son rôle dans les postes exercés, à rallonger la durée d'une mission, ou à s’attribuer un projet collectif… Attention toutefois à ce jeu dangereux qui peut attirer l’œil du recruteur et le faire douter sur votre honnêteté. Ainsi, s'il venait à découvrir ce petit mensonge, il pourrait remettre en question le reste de vos compétences même si elles sont bien réelles !
Lorsque vous rédigez votre CV, éliminez tous les mots et informations inutiles. Un bon CV utilise un langage spécifique qui sera d'emblée compréhensible par le recruteur et lui permettra d'identifier rapidement vos qualifications. Soyez extrêmement précis, en particulier concernant vos compétences techniques, et n’ayez pas peur de « jargonnez » lorsque cela répond aux connaissances requises dans l’offre d’emploi. Par exemple, l'expression "Connaissance en HTML" est à préciser par un diplôme obtenu, une expérience professionnelle concrète ou un projet réalisé.
Par ailleurs, privilégiez des phrases courtes sans parler à la première personne. Rien ne sert d’écrire « J’étais chargé de telles missions », cette information est redondante à celle de votre intitulé de poste. Enfin, listez les différents postes que vous avez exercés en indiquant pour chacun d'eux la date de prise de fonctions, la durée du contrat, et votre mission.
Jogging, accordéon, œnologie… Vos loisirs sont-ils vraiment intéressants pour un employeur ? Pas sûr, sauf si vous postulez dans un magasin de sport, vos activités sportives pourront être un plus. Votre soif de voyages et d’apprentissage des langues étrangères aussi si vous cherchez un emploi à l’international. Mais vous pouvez aisément faire l’impasse sur cette rubrique. Vous pourrez toujours les évoquer lors de l’entretien si vous sentez que l’échange est propice et que le recruteur est réceptif à vos activités parallèles.
BONUS : 9) RELISEZ VOUS!
Un CV avec des fautes d'orthographe est très souvent rédhibitoire, ce serait dommage!
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Article rédigé avec l'aide de regionsjob.com